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Recherche par auteur : Pieyre de Mandiargues, André

7 résultats.

Durée : 5h. 25min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 20786
Résumé:" C'est un recueil de textes écrits sur le Mexique, sur les poètes, sur les peintres, classés selon trois têtes de chapitres : " La Nuit - le Mexique ", " La Poésie - La Mort " et " Le Point de vue ". C'est donc un livre ouvert à plusieurs vents, et dont les portes restent battantes à l'extérieur comme à l'intérieur... Et c'est beau de voir toutes ces lames scintillantes sur fond de ténèbres, cette agilité phosphorescente de la phrase, comme celle d'une jeune danseuse balinaise qu'on eût enfermée dans une cave à charbon.
Durée : 6h. 15min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14866
Résumé:Après un choc affectif atroce, un homme se retrouve " en marge " de sa vie. A Barcelone, dans le sordide quartier de la prostitution, où il a rencontré un semblant de tendresse, il prend conscience de la situation tragique du peuple catalan. L'amour des opprimés l'exalte. Ainsi s'opère la transmutation de la mort volontaire en espoir de vengeance et de libération prochaine.
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14951
Résumé:« Dans la chambre, ensuite, elle boucla son bracelet-montre à son poignet et se para d'un collier de boules d'onyx dont elle aimait le poids et qui avaient un peu la couleur de ses prunelles changeantes, mais elle ne prit aucun linge de corps, quoique son soutien-gorge et sa culotte fussent à portée de sa main sur une chaise, et c'est entièrement nue, ce jour-là, que dans le vestibule elle referma sur elle sa combinaison de motocycliste. » Rébecca Nul s'en va rejoindre son amant sur la motocyclette qu'il lui a offerte. De Haguenau à Heidelberg défilent les paysages du romantisme allemand et les souvenirs érotiques de leur amour.
Durée : 4h. 56min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 17262
Résumé:Les roses sont quatre jeunes et jolies Japonaises qui enlèvent un Parisien, en pleine rue, pour en faire le spectateur d'une étrange et somptueuse représentation funèbre. Dès cette première nouvelle, un érotisme subtilement puritain se mêle à un art visuel aux couleurs choisies. On glisse du familier au fantastique. Une certaine complicité avec Sade et Mishima n'empêche pas que Pieyre de Mandiargues ressemble avant tout à lui-même.
Durée : 3h. 25min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 14981
Résumé:" Quand la jeune fille fut entrée dans le bois, l'inconnu vint la saisir ", Vanina écoutait avec curiosité cette petite phrase qui bourdonnait dans sa tête sans qu'on eût rien fait pour l'appeler, née dans l'état de vide mental qui avait été le sien pendant qu'elle marchait sous le soleil et qui avait fait place à une agitation d'esprit un peu fébrile depuis qu'elle se trouvait sous le couvert des branches. " L'inconnu vint la saisir " - oui ; et n'était-ce pour cela, justement, qu'elle s'était échappée de sa chambre ?
Durée : 6h. 25min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 15118
Résumé:Marceline Caïn : on eût dit qu'elle était mêlée de cendre, de sable et de sang. A quatorze ans, elle n'aimait rien ni personne qu'un gros lapin jaune-orange, touffu, qu'elle appelait Souci. Tous les matins, en cette fin de printemps déjà brûlante, Marceline à peine vêtue et lavée courait ouvrir la porte découpée dans le flanc de la caisse où l'on mettait à dormir Souci pendant la nuit. Et la douceur inaugurale par laquelle elle faisait commencer chaque jour de sa vie était de précipiter la tête et les deux bras à l'intérieur de cette caisse chaude, où les derniers relents de tabac disparaissaient sous une quantité d'effluves domestiques qui, tous ensemble, font la véritable odeur de lapin... Le sang de l'agneau, l'une des sept nouvelles de ce recueil, a été adapté au cinéma par Walerian Borowczyk, le réalisateur des Contes immoraux, de La bête, de La marge...
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13937
Résumé:Récit plutôt que roman, bien entendu, le temps de cette dernière "fiction" de Mandiargues n'excède pas un bel après-midi de fin du printemps à Paris. Quoique le personnage masculin y tienne beaucoup de place, le premier rôle est dévolu à une comédienne, à mi-chemin de la courtisane suivant le mot de Baudelaire, qui permet à l'auteur de mettre en scène un theatrum eroticum conforme à son goût, dans une sorte de jardin exotique sous un toit en verrière. Et si la seconde partie du récit fait surgir toute nue du fleuve Seine une certaine Mériem, dont le nom n'est que la forme arabe de l'hébraïque Miriam auquel répondait la comédienne, n'est-ce pas encore l'incarnation théâtrale d'un certain éternel féminin qui au moyen d'une dague tolédane du onzième siècle mettra par effusion de sang le point final à l'histoire ?